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L'Atelier de Ramettes
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1 juillet 2012

In My Mailbox 2012, S.27

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 Dans ma Bal

tribunal

Concours « un an de polar » des éditions Calmann-Lévy

« Le tribunal des âmes » de Donato Carrisi

Les crimes commencent par des aveux. 

Rome. Sa dolce vita, son Capitole, ses foules de pèlerins, ses hordes de touristes. Sa pluie battante, ses sombres ruelles, ses labyrinthes souterrains et ses meurtriers insaisissables. 
Marcus est un homme sans passé. Sa spécialité : analyser les scènes de crime pour déceler le mal partout où il se terre. Il y a un an, il a été grièvement blessé et a perdu la mémoire. Aujourd’hui, il est le seul à pouvoir élucider la disparition d’une jeune étudiante kidnappée
Sandra est enquêtrice photo pour la police scientifi que. Elle aussi recueille les indices sur les lieux où la vie a dérapé. Il y a un an, son mari est tombé du haut d’un immeuble désaffecté. Elle n’a jamais tout à fait cru à un accident. 
Leurs routes se croisent dans une église, devant un tableau du Caravage. Elles les mèneront à choisir entre la vengeance et le pardon, dans une ville qui bruisse encore de mille ans de crimes chuchotés au coeur du Vatican. À la frontière de la lumière et des ténèbres.

>>> Un auteur qui je voulais découvrir !

 

cantique 100_4019

Concours «Le cercle points »

« Le cantique des innocents » de Donna Léon

Livre dédicacé !

16 ième volet des aventures du commissaire Brunetti.

Un pédiatre et sa femme agressés en pleine nuit, leur béé de dix-huit mois enlevé sous leurs yeux... Pourquoi diable des carabiniers -les gendarmes italiens - ont-ils fait irruption chez ce couple et se sont-ils emparés de ce petit garçon ? le coup porté par son assaillant a-t-il vraiment rendu le médecin muet, comme il le prétend ? Quel lien cette arrestation a-t-elle avec celles effectuées simultanément par les carabiniers dans d'autres ville ?
Et enfin, qui a bien pu ordonner la mise en oeuvre d'une opération aussi effroyable ? Telles sont les questions qui taraudent le commissaire Guido Brunetti et son adjoint l'inspecteur Vianello lorsqu'on leur confie cette affaire.

Pour cette nouvelle enquête, Donna leon nous entraîne dans les méandres de Venise la magnifique et dans ceux, sordides, d'un réseau de trafic d'enfants.

>>> C’est l’occasion pour  poursuivre cette série que j’aime bien.

 

Mes trouvailles vide-grenier

100_4018

D’un silence à l’autre

Micheline Duff

Dans le Québec des années 30, deux sœurs, Florence et Andréanne, vont se partager les faveurs du même homme, avant qu’un terrible secret ne les éloigne l’une de l’autre. Quatre générations vont porter le poids de leurs silences, de leurs non-dits... Sauront-elles se retrouver ? Le pardon aura-t-il une place dans cette famille déchirée ? 

C’est une trilogie que j’ai offerte à une copine il y a quelques mois et en le choisissant je me disais que ça me plairait bien !

 

La vague

Todd Strasser

L'Histoire est-elle destinée à se répéter ? L'Histoire est-elle un éternel recommencement ? C'est à ces questions que Todd Strasser essaie de répondre dans La Vague.
Pour faire comprendre à ses élèves l'horreur nazie, un professeur d'histoire tente dans sa classe une expérience terrifiante : La Vague. Au lycée Gordon, il y aura un avant et un après la Vague.
Inspirée d'une histoire vraie, le roman de Todd Strasser a été adapté au cinéma par Dennis Gansel (déjà plus de 2,5 millions d'entrées). La sortie du film en France est prévue début 2009.
La Vague est également disponible en roman graphique aux Editions Jean-Claude Gawsewitch. 

 

La première enquête de Montalbano

Andrea Camilleri

La Sicile doit sa notoriété à la splendeur d'un volcan, à la majesté de ses temples et au caractère impitoyable de certains de ses habitants. A ces attraits, il faut ajouter aujourd'hui un personnage hors du commun : le commissaire Montalbano. Pour la nonchalance, la gourmandise, l'érudition et le flegme, le " dottore " Montalbano n'a pas d'égal. Lui qui déteste les crimes de sang trop faciles à résoudre, le voici, pour sa première enquête, devant l'énigme la plus saugrenue, un condensé d'humour noir et de surréalisme : un lundi, on trouve un poisson abattu à coups de 7.65. Le lundi suivant, pareillement assassiné, un poulet. Ensuite un chien. A quand l'âne ou le bœuf, et quelques villageois ? L'affaire est sérieuse et Montalbano à pied d'œuvre.

 

Cosmopolis

Don DeLillo

Une journée dans la vie d'un homme d'affaires, celle de Eric Michael Packer, un yuppie, jeune premier dans la réussite, parti d'une petite start-up, parvenu en haut de l'échelle. Comme dans une boîte à musique renfermant une entière partition, Don Delillo a concentré en quelques heures l'existence d'un homme et, au-delà de sa marionnette, un monde cosmopolite, vibrant aux rythmes des frénésies new-yorkaises. Cosmopolis est d'abord une œuvre sur la réussite entrepreneuriale, sur l'univers de la finance brossé au scalpel. Où se mêlent les limousines blindées, les bureaux gavant les buildings, les tours de banques, les appareils de régulation d'air, les agents de sécurité et les gardes du corps, les meurtres, les directeurs financiers en short de jogging et débardeur, les "lueurs du cybercapital", des hommes et des femmes les yeux rivés sur des écrans de contrôle, des rencontres amoureuses furtives, des relations sexuelles non moins furtives, des échanges courts et secs, des adeptes de rave party croisant des smurfeurs. 
Au reste, dans l'effervescence de New York, tout le monde croise tout le monde, Indiens et Pakistanais, latinos et Chinois, anarchistes et chauffeurs de taxi sikhs. Point de hasard au titre du livre choisi par Don Delillo, dans un amas de petites choses, de courses exaltées par les flambées des cours pour son personnage principal, jusqu'à la confrontation fatale avec un exclu, brimé, brisé, licencié, auparavant analyste de devises. C'est là un formidable tourbillon de fin de XXe siècle aux apparences économiques et sociales et en fin de compte humain, terriblement humain.

 

La littérature et le mal

Georges Bataille

" La littérature est l'essentiel, ou n'est rien. Le Mal - une forme aiguë du Mal - dont elle est l'expression, a pour nous, je le crois, la valeur souveraine. Mais cette conception ne commande pas l'absence de morale, elle exige une " hypermorale ". La littérature est communication. La communication commande la loyauté : la morale rigoureuse est donnée dans cette vue à partir de complicités dans la connaissance du Mal, qui fondent la communication intense. La littérature n'est pas innocente, et, coupable, elle devait à la fin s'avouer telle. L'action seule a les droits. La littérature, je l'ai, lentement, voulu montrer, c'est l'enfance enfin retrouvée. Mais l'enfance qui gouvernerait aurait-elle une vérité ? "

 

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