Ali et Lola; Tome 3. Ne m'laisse pas choir !
Pierre Gibert
Editions Faton, mai 2018, 48 p. (43 planches), 14,50 €
Masse critique Babelio / Editions Faton
4e de couv. :
Ali et Lola s'aiment beaucoup et sont inséparables, mais ils passent leur temps à se chamailler. Pourquoi ?
Ma chronique :
Lorsqu’on lit qu’il s’agit d’un troisième tome on se demande s’il faut avoir lu les précédents. Ici ce n’est pas nécessaire. Chaque page est une planche avec une chute (et ce n’est pas un jeu de mots ! lol !). Et si vous avez lu les précédents tomes et que vous avez ri et appris des choses vous continuerez ici. Ce duo fonctionne bien.
Dans ce troisième tome, on découvre que certaines planches se répondent avec parfois un sentiment de continuité. Elles ses suivent dans l’idée et dans la composition de l’album.
« Descente en rappel » et « plus douce sera la chute »
« Tu chauffes, tu chauffes… tu bous » et « recette Inca »
Dans l’idée d’effet miroir on a deux planches autour d’une lettre de remerciement « Faute de goût » p.5 et « nain de jardin » p.17. Elles sont complémentaires et chacune met en avant un des personnages.
Le duo fonction dans les deux sens mais le plus souvent c’est Ali qui donne une leçon grammaticale et Lola une leçon de vie, en se vengeant ! Parfois d’autres personnages en font les frais, car rien n’arrête Ali…
On les retrouve dans des situations de la vie quotidienne, dans des œuvres littéraires (Odyssée, Légende du roi Arthur, Charlie et la chocolaterie…), parfois c’est dans leurs rêveries…
Nos héros font la chasse aux idées reçues. Parfois Ali s’attaque aux grandes œuvres et les effets littéraires voulus par les auteurs (j’espère !)
On a plusieurs niveaux de lecture soit par l’aspect visuel avec les dessins, soit par les dialogues ou encore le titre.
A être trop poli se retrouve dans des situations très inconfortables, car il ne sait pas se taire ou faire dans la nuance.
La vérité n’est pas toujours bonne à dire ! Sauf lorsque je dis que dis que nous avons tous passé un bon moment à la maison. Mon fils à trouvé que les chutes étaient encore meilleures.
Combien d’erreurs grammaticales ai-je commis dans cette chronique ? La lecture de cette série nous apprend des choses et nous fait réfléchir. Vous l’aurez compris je suis fan de cette série, mais un cas irrécupérable !
A quand un répertoire pour retrouver les aventures qui répondent à une question précise ?
Je remercie Babelio et les Editions Faton de (ou pour) leur confiance. (voir « nain de jardin » pour découvrir le réponse !)
Je vous mets les liens vers les deux autres tomes pour compléter ce que je pense de cette série. Vous y lirez comment j'ai découvert cette série...