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L'Atelier de Ramettes
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14 octobre 2012

In My mailbox 2012, S.42

Cette semaine dans BAL ... des partenariats et...

abyssin

Un partenariat Liv@ddict

"Le reliquaire abyssin" de Jenny White

Constantinople, mai 1453. Alors que sept mille hommes se préparent à défendre Byzance contre l envahisseur turc, Isaac Métochitès et sa famille sont chargés de protéger un reliquaire en argent qui porte sur son couvercle la figure d un ange en pleurs et une inscription : « Contemplez la Preuve de Chora, Contenant de l Incontenable » Quatre siècles plus tard, dans l empire ottoman, le magistrat Kamil Pacha est confronté à l une des affaires les plus complexes de sa carrière : des dizaines d antiquités ont disparu des plus grandes mosquées et églises d Istanbul, pour refaire surface quelques semaines plus tard sur le marché européen. Tandis que ces vols alimentent les tensions croissantes entre chrétiens et musulmans, plaçant la ville au bord de l émeute, une série de meurtres lies par des marques identiques sur les cadavres menace de détruire définitivement cet équilibre précaire.
L enquête de Kamil l oriente vers une secte ancienne créée par des esclaves abyssiniens, dont les descendants habitent une gigantesque citerne abandonnée dans les bas-fonds d Istanbul. 
Avec la réapparition soudaine du reliquaire en argent et son vol presque immédiat, une course brutale est lancée entre ceux qui ont juré de le protéger et ceux qui ne s arrêteront devant rien pour s emparer de son contenu explosif une « Preuve de Dieu » susceptible de réécrire le cours de l Histoire. À mesure que Kamil découvre les secrets de la secte et ses liens avec le reliquaire, il apprend des vérités sur sa propre famille et son passé qui risquent de détruire ses croyances les plus profondes. Dans la lutte mortelle qui s engage autour du reliquaire, ce n est pas seulement la vie de Kamil qui est en danger, mais son identité même.

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Partenariat "Masse critique / Babelio"

 france culture 3

Magazine

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Mercredi dans mon panier chez Emmaüs

bouvard-et-pecuchet_couv arbre sec 51WX2TQ55YL le roi

"Bouvard et Pecuchet" de Gustave Flaubert

Bouvard et Pécuchet est une Odyssée. La littérature (profane - c'est-à-dire la vraie) commence avec Homère (déjà grand sceptique) et toute grande œuvre est soit une Iliade, soit une Odyssée, les odyssées étant beaucoup plus nombreuses que les iliades : le Satiricon, La Divine Comédie, Pantagruel, Don Quichotte, et naturellement Ulysse (où l'on reconnaît d'ailleurs l'influence directe de Bouvard et Pécuchet) sont des odyssées, c'est-à-dire des récits de temps pleins. Les iliades sont au contraire des recherches du temps perdu : devant Troie, sur une île déserte ou chez les Guermantes.

"Meurtre au café de l'arbre sec" de Michèle Barrière

Février 1759. Alors qu il est sur le point de confectionner une glace nouvelle, révolutionnaire, dont le parfum doit être tenu secret, Jean-François Savoisy, tranquille cafetier de la rue de l Arbre-Sec à Paris, ne doute pas de son succès et entend bien coiffer Procope, son éternel rival, au poteau. Qui plus est, lorsqu au détour d une rue il croise son vieil ami Menon, grand cuisinier de son état, la vie lui paraît prendre un tour nouveau : consécration et félicité semblent lui tendre les bras. C est sans compter sur son épouse qui, intellectuelle dans l âme, s est fermement engagée dans la bataille aux côtés d auteurs tels que Voltaire ou, son chouchou, Diderot. Lorsque ce dernier lui confie un manuscrit afin d échapper à ses censeurs, Maïette ne sait pas au-devant de quels dangers elle entraîne sa famille. Ce qu elle ignore surtout, c est que dans l ombre patientent deux individus, attendant leur heure, eux aussi à la poursuite d un manuscrit... Dans ce dernier épisode de la saga Savoisy, nous retrouvons avec délice les ingrédients qui ont fait le succès des précédents romans : chapons, ravioles, pâtés, ciboulette, épices et hypocras ont la part belle dans cette intrigue où les cadavres ont un étrange goût de caramel et où les rencontres sont pour le moins... inattendues.

 

"Contes et récits fantastiques Théophile Gautier

héophile Gautier n’a pas encore 20 ans, lorsqu’il rédige, en 1830, un article à la gloire d’Hoffmann, tout fraîchement révélé au public français par les traductions de Loève-Veimars. A 21 ans il publie son premier récit, La Cafetière, où éclate l’influence du conteur berlinois. Mais il est trop lucide pour s’abandonner sans contrôle à son enthousiasme. Bientôt, il décrit les «vexations» d’un Jeune-France égaré par la passion du fantastique : Onuphrius est sa caricature, dessinée avec une ironie fraternelle. Tel est-il toujours demeuré : vigilant, quoique exalté : attentif à voiler ses préoccupations sous une nonchalance étudiée. Omphale, La Pipe d’Opium, Le Pied de momie effleurent comme par jeu les réalités invisibles. Pourtant, des accents plus graves se laissent percevoir quelquefois. Ce dilettante avait des hantises, dont ses proches ont été les témoins ; ce poète des apparences possédait, comme Baudelaire a su s’en apercevoir, une «intelligence innée de la correspondance et du symbolisme universels». Presque tous ses contes, plus particulièrement La Morte amoureuse, Arria Marcella, Le Club des Hachichins, manifestent son regret de ne pouvoir échapper aux limites de la condition humaine et son besoin d’une évasion imaginaire au -delà du Temps et de la Mort. Vers la fin de sa carrière, Théophile Gautier a composé, dans la même veine, de petits romans (Avatar, Jettatura) et une longue nouvelle (Spirite).Nous nous bornons, dans le présent volume, à reproduire celles de ses œuvres fantastiques dont la brièveté paraît justifier l’étiquette de «contes». Nous les présentons selon l’ordre chronologique où elles ont parus pour la première fois dans les revues et périodiques de l’époque. La cafetière/Onuphrius/Omphale/La morte amoureuse/La pipe d’opium/Le chevalier double/Le pied de momie/Deux acteurs pour un rôle/Une visite nocturne/Le club des Hachichins/Arria Marcella161/au XXe siècle demeure à écrire.

 

"Le roi des horloges" de Christopher Hope

Kissac n’est pas un joli petit village pittoresque : Kissac est même, entre Narbonne et Lézignan, une bourgade plutôt dépourvue de charme, voire passablement banale. Mais les gens du coin, eux, c’est autre chose : originaux, ils le sont — authentiquement et sans rémission. Peut-être sont-ils seulement aussi étonnants que la réalité elle-même, laquelle, comme on sait, dépasse toujours la fiction. Mais Kissac est bien une fiction et Christopher Hope y joue son propre rôle.
Déguisé en personnage, toujours sur les talons de son "initiateur", l’inénarrable Roi des horloges, grand amateur d’antiquités aux origines slaves et au parcours complexe, Hope élabore en effet son roman comme autant de rencontres délectables avec les figures insolites que ce nouveau pays des merveilles semble produire à l’envi.
Alchimiste à ses heures, Christopher Hope a tiré de son amour de la France et de sa profonde connaissance d’une région où il réside, une œuvre attachante, alerte et poétique, peuplée de coquins et de hâbleurs, d’amants et de perdants, de décalés en tous genres qui ne sont pas toujours ceux que l’on pense. De ce roman d’une finesse et d’un humour incomparables, le lecteur français ne peut que revenir enchanté, comme d’un rendez-vous clandestin avec lui-même.

 

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Ce matin au vide grenier...

solal

"Solal" de Albert  Cohen

Albert Cohen n'a jamais été député ni ministre et n'a pas abrité des dizaines de coreligionnaires dans des souterrains. Il n'a pas davantage enlevé une future épouse à la barbe d'un prétendant. Solal est pourtant nourri de sa vie. La peinture de Céphalonie doit beaucoup à son séjour à Corfou en 1908, Genève est un pôle majeur de son existence, les silhouettes des diplomates et des politiciens, la famille Sarles, viennent directement de son expérience. Les préoccupations, voire les déchirements, de Solal trouvent leur source dans le moi profond de l'auteur, amoureux de la France et de sa culture sans vouloir rien renier de ses origines.

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A part ça j'ai perdu mon appareil photo samedi avec des photos dedans... je râle ! ça n'est pas une bonne affaire ... ni pour celui qui va le trouver ni pour moi !

 

Et vous vous avez craqué pour quoi ????

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